lundi 12 avril 2010

WIP terminé, unité de guerriers Scorpions

J'ai terminé la peinture il y a pas mal de temps, les photos étaient prêtes elles aussi. Il me manquait du temps et de la motivation pour l'article.

Voici une nouvelle unité opérationnelle pour ma bande de guerriers Scorpions pour War Engine. Il s'agit d'anciennes figurines Rackham pour Confrontration. Commencée en Février 2009 et terminée en Octobre 2009 en 4 séances de 2 heures. La vitesse est bonne, reste à augmenter la fréquence.

La photo de famille

Le leader (à gauche) et un guerrier (à droite)

Un arbalétrier

Technique: sous-couche au Skull White GW. Couche de base peau : Gris neutre PA + Marron sable PA + Gris allemand PA. Ombrages peau : Gris neutre PA + Gris allemand PA. Éclaircissements en Gris neutre PA + Chair de base PA. Couche de base vêtements : Vert PA + Turquoise PA + Gris Spectre PAG. Ombrage : mélange de base + Vert foncé PAG. Eclaircissements : mélange de base + Bleached Bone GW. (GW=Games Workshop, PA=Prince August, PAG=Prince August Games)

mercredi 7 avril 2010

La Revue Ciné de Sandchaser (Decembre 2009 - Mars 2010)

En 4 mois, 6 films vus pour un coût moyen de 6 euros/film. Est-ce que ça valait le coup ? Réponses plus bas.


Micmac à Tire-Larigot
par J.P. Jeunet - France

Un Jeunet classique. L'univers, la lumière, les personnages un peu déjantés. On prend les mêmes et on recommence. L'univers de Delicatessen, l'esthétique de la Cité avec une intrigue dans le style du Long Week-end pour raconter la vengeance d'une victime des marchands d'armes. C'est fédérateur et familial. On passe un bon moment si on aime bien Jeunet et qu'on est un peu fleur bleue. C'est mon cas. 5/5, a mérité ses 6 eurosous.


2012
par R. Emmerich - USA

A regarder avec des potes chercheurs en physique pour voir leurs mines effarées. Personnages stéréotypés, intrigue inexistante, ce film ne sert qu'à tester son home-cinéma. Bon, après ça, on peut se dire que So Bad, It's Good, So Yeah! 2/5, allez, j'ai bien rigolé. Ne dépensez pas d'argent au ciné. A acheter en DVD pour étalonner une chaîne hi-fi ou un écran plasma.



Avatar

par J. Cameron - USA

The BLOCKBUSTER ! Attendu depuis des années par tous les fans de Cameron. De la SF, de la 3D, un monde extraordinaire dont on avait pu apercevoir les contours dans un dépliant papier distribué avec le courrier. Bref, le truc énorme. Au final ? Le seul truc en 3D dans ce film, c'est l'image. Le scénario ? plat. Les personnages ? plats. Les scènes d'action ? plates. La morale de l'histoire ? Plate et réchauffée. En plus, c'est long. 2h40.
Alors si vous voulez voir Avatar, restez à la maison et louez vous Danse avec les Loups ou Little Big Man et imaginez que les Apaches/Lakota sont des elfes de l'espace à la peau bleue. 3/5 pour les effets spéciaux. Revoyez Abyss du même Cameron. C'est largement mieux. Ou Titanic, y a Kate Winslet toute nue. Ou mieux, lisez Aquablue, la série de BD de Cailleteau&Vatine. Tout Avatar est pompé dessus (la peau bleue, le matos des militaires, le pitch).


Invictus
par Mister Clinton "Clint" Eastwood Jr. - USA

C'est un film de Clint. Avec Morgan Freeman et Matt Damon. Rien que pour ça, faut y aller. Non, sérieusement, faut être objectif, Client Eastwood réalisateur, dans 100 ans on en parlera encore. On s'ennuie pas. Freeman campe un Nelson Mandela plus vrai que nature au point où se demande si c'est pas Mandela qui est le sosie de Freeman. Enfin, Freeman est bien dans son registre, irradiant le calme et la sagesse. Un peu trop d'ailleurs, le film frôle l'hagiographie à plusieurs moments.
Pour faire contrepoint, heureusement, il y a Matt Damon dont les doutes brisent un peu le doux ron-ron du scénario et surtout Tony Kgoroge qui joue le meilleur second rôle du film comme chef de la sécurité présidentielle. Ah au fait, ça n'est pas un film sur le rugby. 5/5. Ca mérite amplement ses 6 euros. Et ça va s'acheter en DVD.


Solomon Kane
par Michael Basset - UK

Un film anglais narrant les aventures du personnage de Robert Howard le plus connu après Conan. Bon, moi j'ai lu qu'une nouvelle de Howard et le héros, c'est ni Conan, ni Kane alors je partirai pas là-dessus.
On a là un film à l'esthétique glauque et douteuse mélangeant allègrement les périodes historiques pour au final livrer un gloubiboulga d'heroic-fantasy mal digérée. Pensez un peu, le héros est un ancien corsaire de sa Majesté qui cherche la rédemption. Quoi de mieux pour ce faire que d'errer sur les chemins creux du Yorkshire en pleine époque de la glorieuse révolution anglaise. Evoqué comment ça, ça peut le faire, hein ?
Et bien, non, ça le fait pas. On a l'impression que l'Angleterre n'a jamais quitté le moyen âge, que les puritains de l'époque sont soit des abrutis béats ou des extrémistes sanguinaires et que le pays est livré aux hordes barbares.
Même le Robin des bois, prince des voleurs fait plus vrai, c'est dire. Alors, après qu'est-ce qui reste ? Bin rien. Les effets sont quelconques, les acteurs moyens et les scènes d'actions pourries. Les prises de vue en extérieur sont pas mal. 1/5. C'est nul. Achetez vous un beau livres de photos de l'Ecosse ou du pays de Galles. Si le film avait été produit par Games Workshop et estampillé fluff officiel de Warhammer Battle, ça l'aurait plus fait !


Alice In Wonderland
par Tim Burton - USA

Lâche ! Traitre ! Hérétique ! Tim Burton refait du Disney et ça se sent. Prenez l'oeuvre de Lewis Caroll. Au départ, c'est un récit pour distraire trois jeunes filles lors d'une promenade en bateau et ça finit, un fois publié, en satire des conventions de la société victorienne de l'époque. Mais il y a satire et satire. Burton prend la satire au pied de la lettre et nous montre des personnages victoriens hyper-conventionnels auxquels se heurte Alice dans la première demi-heure du film.
Une fois dans le Wonderland, la quête d'Alice se transforme en mauvais scénario de Donjons&Dragons sans le surréalisme et la loufoquerie du récit original pour finir par une scène de bataille poussive et ennuyeuse.
Où est le non-sense ? Nulle part.Le Chapelier Fou n'est qu'un pauvre junkie au discours incompréhensible. Les autres personnages sont dans leur stéréotypes, rien d'onirique ni de surréaliste ne subsiste de l'oeuvre originale. De retour à la surface, Alice triomphera de toutes les convenances en 5 minutes chrono mieux que Jack Bauer et gagnera son happy end en ayant rien perdu. Disney quoi.
De Tim Burton, on aurait aimé quelque chose de gentiment subversif, du style de BeetleJuice.
3/5. La fin est chiante et à aucun moment, on ressent quelque chose pour les protagonistes. Le Chat est marrant. Fallait le voir pour critiquer. Revoyez le dessin animé de Disney.


Bilan des courses. Dépensé 36 euros pour une moyenne de 3/5 de revues positives. Mieux choisir mes films à l'avenir ;-)

mardi 6 avril 2010

Rammstein - Bercy - Décembre 2009

L'article était prêt, au chaud, attendant d'être mis en forme et publié. Ben voilà, le retour sur le concert de Rammstein le 9 Décembre au POPB est là.

Tout a été dit, écrit sur Rammstein dans les média français. Le groupe traîne encore une mauvaise réputation. Je vous rassure, c'est aussi vrai outre-Rhin. J'ai pu m'en rendre compte personnellement, y ayant passé une bonne partie de l'année 2009 et m'y rendant encore régulièrement.

Pourtant, en arrivant sur le parvis, rue de Bercy, j'étais déjà surpris par l'incroyable diversité du public. Jeunes, très jeunes, moins jeunes. Pour certains, c'était même leur première expérience de live. Tous les styles vestimentaires étaient représentés aussi. Quoique les rares costards-cravate égarés là devaient plutôt sortir du MINEFI tout proche.

L'ambiance était identique dans la salle, ce qui prouve que Rammstein est un groupe qui fédère, garantie de pérennité selon moi.

La première partie était assurée par Combichrist, un groupe norvégien qui délivre une électro-indus bien puissante. Ca m'a fait penser à l'histoire du sandwich métal (lien ici). Avec Combichrist, y a du pain, du pain et que du pain avec quand même un peu de jambon fumé.

Voix, percus, claviers, batteries et encore percus forment la line-up de base du groupe. Et force est de constater que c'est efficace. Les membres du groupe ont l'air déjantés comme il faut et ils ont fini leur set en se balançant les fûts à la gueule.

Bref, Combichrist, c'est n'imp, on adore !

A 21h00 pétantes, les six Allemands entrent sur scène en déchirant le rideau (ça donne le ton!) et le set commence. Pendant 1h30, les titres se succéderont, tous repris en choeur par le public. La part belle est donnée aux titres du dernier album, Liebe ist für alle da mais s'y entrecroisent les morceaux emblématiques comme Benzin ou Du Hast et, surtout, Engel en final.

Comme toujours avec Rammstein, la scène en voit de toutes les couleurs, le premier rang de la fosse est chauffé au rouge (au propre comme au figuré).

Effets pyrotechniques (du feu!), éléments de scène mobiles (mit feuer!), cascades (encore du feu!!), tirs d'arbalète (toujours du feu), j'en passe et des meilleures. Rammstein est LE groupe qu'il FAUT VOIR SUR SCENE.

Bien entendu, pour les connaisseurs qui ne purent s'y rendre, les grands classiques de la fausse éjac' et du canot de fosse étaient présents aussi. Pour la première, on pouvait voir Till, le chanteur, à cheval sur une bétonnière rose qui projetait des plumes sur le public. L'engin (la bétonnière, pas Till) circulait sur un rail le long de la scène. Il allait et venait (non, je ne le fais pas exprès, enfin, si, un peu) certainement pour être sûr de ne manquer personne.

Pour le second, Falke le claviériste embarque dans un canot pneumatique et part faire le tour de la régie son, porté à bout de bras par le public. Enorme.

Est-ce j'ai parlé des costumes? Non! Till avec des ailes d'anges en métal de 4 mètres sur Engel. Est-ce que j'ai dit qu'elles aussi étaient en feu ?

Ce qui a fait dire à Vonv: "Dans la vie, y a deux moments. Avant et après un premier concert de Rammstein".

Ce qui me fait répéter: "Les autres groupes de métal jouent, Rammstein brûle".

Au final, c'était géant. Le genre de live qui t'emporte et détruit le peu de recul que t'avais pensé garder en prévision d'écrire ton papier. On en redemande.

Au niveau son, c'était parfait, l'acoustique millimétré pour chaque instrument malgré quelques pains bien indolores. On pouvait déplorer que la voix soit sous-mixée. De toutes manières, Bercy a une acoustique déplorable. Vivement Rammstein à la salle Pleyel !

Si vous prévoyez d'y aller pour la prochaine, prenez les bouchons d'oreille, ça sert.

Allez, zou, la set-list (pas sûr à 100%)

Rammlied
Bückstabu
Waidmanns Heil
Keine Lust
Weisses Fleisch
Feuer Frei!
Wiener Blut
Frühling in Paris
Ich Tu Dir Weh
Liebe ist für alle da
Benzin
Links 2 3 4
Du Hast
-- rappel --
Pussy
Sonne
Haifisch
-- rappel --
Ich Will
Engel

mercredi 28 octobre 2009

Pixies - The Doolittle Tour

Quand: le 16 octobre 2009
Où: Zénith de Paris
Encore un groupe d'anciens qui se reforme pour des concerts. En entrant au Zénith, l'impression que je viens pour financer le plan épargne de retraite de Ms Deal et de MM. Santiago, Thompson et Lovering.

Du merchandising partout, T-shirts, double, triple albums collectors, j'en passe et des meilleures.

19h30. Confortablement installé plein axe, sous le carré vieille-pies, je procède à des tentatives de réglages photos. Résultat mitigé comme on va le voir.
La première partie entre en scène. Des illustres inconnus. Un combo de trois Anglais (guitare, basse, batterie) nommé Dinosaur Pile-Up (leur site MySpace).
C'est un peu approximatif, un peu grunge, très amateur. Pas terrible. On leur souhaite beaucoup de succès (irony inside).

A 20h30, les gugusses s'en vont. Les roadies s'amènent et enlèvent les draps. On remarque la jolie caisse de batterie rouge et noire avec le P logo dessus.
Les roadies installent les grattes des autres et les lumières s'éteignent.

Suivent les 40 minutes du Chien Andalou de Luis Bunuel qui, renseignements pris, semble être la source d'inspiration majeure de Doolittle, second LP studio du groupe, dont c'est l'anniversaire (20 ans) et qui est à l'honneur ce soir.
A 21h10, très exactement, les 4 musiciens entrent en scène sous un tonnerre d'applaudissements.

Après un salut très rapide de Kim Deal au public, le quatuor entame son set par 4 morceaux issus des faces B des singles. Ces titres plutôt confidentiels pour l'amateur moyen reçoivent un accueil poli. La fosse semble en attendre plus et nous aussi.
Dans la suite du concert, Ms Deal n'aura d'ailleurs de cesse d'indiquer au pékin moyen venu l'écouter elle et ses comparses quels sont les morceaux "connus" et quels sont les faces B.

Après ce hors-d'oeuvre surréaliste (très "pixien" en fait), arrive le plat de résistance. L'album Doolittle repris dans l'ordre des titres de la pochette.
On aura donc droit à un très bon Debaser (et j'ai compris pourquoi Thompson chante Splice up my eyeballs). Tame et Wave of Mutilation qui suivent continuent de mettre la salle en feu.

Ensuite, on a eu le droit à I bleed avec un fond d'écran très explicite. Il faut d'ailleurs indiquer que chaque morceau avait droit à son illustration d'arrière-scène ce qui apportait la touche spectaculaire qui manque aux Pixies, groupe très statique et peu loquace.

Les reprises de Crackity Jones, Monkey's Gone to Heaven, No. 13 Baby sont excellentes. Les petits films qui passaient derrière l'écran faisaient leur effet.

Le jeu des musiciens est toujours aussi clair. La basse omniprésente donne un bon relief à la musique. Les voix de Deal et Thompson n'ont pas l'air d'avoir trop souffert. On croirait vraiment entendre les mêmes à 20 ans d'intervalle.

J'essaye de prendre des photos mais l'éloignement et la lumière mal équilibrée rendre le cadrage difficile. On ajoute à cela le mode prétendument manuel de mon appareil et on aboutit à un temps d'exposition très long causant flou de bougé et sous-exposition. Pas facile de prendre des photos d'un concert...

A 21h40, les Pixies ont expédié presque tout le set de Doolittle et après un bref rappel reviennent pour une version plus douce de Wave of Mutilation et un petit Silver.
Ca y est, le job est fait. On s'éclipse... Second rappel et arrive le dessert: Vamos, Gigantic et Planet of Sound.

A 22h00, good bye et au revoir Paris, les quatre Bostoniens quittent la scène avec, visiblement, le sentiment du devoir accompli.

Au final, un concert de 2h30 avec à peine une heure de jeu des Pixies. Les quelques mots prononcés par Kim Deal auront été la seule tentative de complicité avec le public.

Les plus : un groupe mythique, un superbe album, l'acoustique de la salle, on rentre à l'heure
Les moins : peu d'échanges avec le public, une première partie indigente, un show très "expérimental", on rentre à l'heure.

L'avis 100% subjectif de Sandchaser:
Il faut aller voir les Pixies en concert au moins une fois. Doolittle étant leur meilleur album, il fallait aller à celui-là.
Y retournerai-je? Non. Je laisse le soin à d'autres le financement du plan de retraite (forcément surréaliste) des Pixies et me contenterai d'écouter les albums que je possède sans en acheter d'autres.

lundi 5 octobre 2009

Réactivation

Je viens de m'apercevoir avec effroi que le dernier message publié sur le blog datait de l'année dernière. En ce mois d'Octobre 2009, on parle déjà de 2010...

Alors, après ce long hiatus, j'ai décidé de rouvrir la boutique.

Mon but de la toute fin d'année 2008 (lisez le message, il n'est pas si loin dans l'archive, ha ha) était d'orienter le blog vers un truc hobby. Bon, il y en a tellement déjà, qui font bien mieux que moi et surtout de manière plus assidue. Alors je vais plutôt continuer d'écrire sur un peu tout et n'importe quoi. Je continuerai à parler de voyages, de musique, de ciné, de faire un peu de critique et de publier des courts articles sur les travaux figurinistiques en cours.

Maintenant, pour ceux que ça intéresse, quelles ont été les raisons du hiatus ?
  • Une activité professionnelle chargée en Février et Mars qui ne me donnait plus assez de temps pour écrire
  • Un déplacement professionnel de longue durée en Allemagne dont je viens de rentrer
  • Quelques vacances
  • Et surtout, passer du temps à lire (dans le train), à lire d'autres blogs, à écouter de la musique (en live surtout) et à parler aux gens.

Les prochains articles traiteront en vrac:
  • De l'actu musique (concert anniversaire des Pixies et concert de Rammstein)
  • Des WIPs figurines (il y a eu quelques progrés) et des règles de jeu

  • Des bouquins lus cette année
  • Et, étant donné que ça m'a occupé plus d'un tiers de l'année, de l'Allemagne.

J'espère être assez assidu pour remplir ce programme et satisfaire les quelques personnes qui lisent ce blog et qui voudront bien revenir le lire.

A bientôt.

mercredi 31 décembre 2008

Fin de l'année (2/2)

Seconde partie du message de bilan de fin d'année, celui-ci consacré aux progrès enregistrés sur le front de la production figurinistique.

Figurines achetées cette année:
- un bon lot de Dirz neuf (env 15 figurines métal)
- un très bon lot de Dirz d'occasion (env 30 figurines métal)
- la boîte de base HE de GW (+ de 35 figurines plastique)

Objectifs de l'année:
- monter deux nouvelles factions pour Hard Klash Fantasy
- tester les règles et y apporter des modifications

Réalisations effectives:
- les WIP des morts-vivants sont terminés à 50%. Il reste le Cerbère (à re-sous-coucher) et le Wolfen Zombi (à peindre)
- Le Fossoyeur est opérationnel et a connu le baptême du feu (yesssssss!)
- Le coeur de l'Unité des Vétérans Alchimiques est terminé à 80% (photos provenant du Futur à paraître bientôt dans un WIP spécial)
- Le Corps d'Armée des Eldaryms (sorte de tafioles à longues zoreilles) prend forme. 4 archers assemblés/soclés + 1 meneur, 6 lanciers assemblés/soclés, 1 balliste. J'espère que la toute fin de 2008 verra le chantre de guerre et le garde impérial assemblés/soclés (d'ailleurs je pense m'y mettre dans pas longtemps)
- plus de 4 playtests de HKF pour découvrir la richesse du WarEngine et voir comment y adapter certains concepts sympas de Conf' et de WHB.
- Des profils pour 6 factions (undead, Nains, Orks, Wolfens, Dirz, Elfes) dont 3 ont été jouées (undead, Orks et Nains)
- La correction de la version initiale de HKF avec les ajouts.

L'année 2009 devrait démarrer sous les bons auspices de Mars et de Minerve puisque des parties sont prévues demain ! Et une séance de peinture familiale Samedi prochain ! A l'année prochaine et bon réveillon.

Fin de l'année (1/2)


Je viens de m'apercevoir que je n'avais pas mis à jour le journal depuis la fin du mois de Novembre. Et pourtant, j'ai fait quelques trucs en Décembre...

Je passe sur les diverses expériences cinématographiques qui m'ont laissé un goût d'insatisfaction prononcé (Hellboy II, Quantum of Sollace).

Au chapitre BD, la fin de l'année a été aussi celle des cycles avec en vrac :

La fin de cycle de Lanfeust des Etoiles, un dernier opus qui clôt la série de manière moyenne. C'est toujours plus ou moins drôle même si ça commence à sentir le réchauffé question blagues à deux balles et jeux de mots vaseux. Quelques bonnes scènes marrantes quand même (attention ! spoilers) : la fin de Thanos et les larmes d'Hébus.

La fin de la saison II du Chant des Stryges. Une fin inattendue pour un album qui m'a paru comme un monologue du principal méchant de l'histoire, Sandor G. Weltman dans le rôle de Mr. Plot Exposition. On apprend ce que sont la jolie et vénéneuse Debra et les deux petits vieux. (c'est ma journée spoilers, on dirait)

La fin des Chroniques de la Lune Noire. FMF signe ici un hommage à son père spirituel, E. Gary Gygax disparu cette année. Ca décoiffe moins que les précédents mais ça prend aux tripes. On reste quand même sur sa faim.

Au chapitre des lectures que certains qualifieraient de plus sérieuses, j'ai pas lu beaucoup de choses et surtout peu de choses nouvelles. Je note dans mes bonnes résolutions de 2009. Lire plus de choses sérieuses. Se relire L'Aube de la Nuit. Finir de lire Le Trône de Fer. Ne plus acheter de livres de Jean-Christophe Grangé ni de Maxime Chattam.

On finit par la musique de la fin 2008.

Death Magnetic (Metallica) a été la bonne surprise. Pierre a réussi (bien involontairement) à exciter ma curiosité et je me suis remis à écouter ce bon vieux groupe. Les cinq premières pistes de l'album sont d'une assez bonne veine, le reste a tendance à être assez répétitif. Pour me consoler, j'ai acheté le S&M et ré-écouté le Black et ...Justice For All.

J'avais arrêté d'écouter Nightwish après l'album Wishmaster. J'ai voulu voir ce que donnait le changement de chanteuse et j'ai écouté leur dernier album, Dark Passion Play. 13 pistes, un bon tiers de bonnes chansons. Un instrumental bien inspiré (11) à la suite d'une ballade sympa (10). le single Amaranth (3) qui se laisse écouter. Un long morceau d'introduction dans la veine Nightwish et quelques titres bien balancés (4 et 5). Rendez-vous l'année prochaine pour le concert.

Fin du premier message. A plus tard pour la suite consacré au bilan figurinistique de 2008.